La musique est l’art de combiner des sons de manière à ce qu’elle soit agréable à l’oreille. Elle existe sous deux formes : la musique vocale et la musique instrumentale. C’est un fait de culture auquel s’ajoutent les éléments de la modernité. Que faut-il comprendre de ce passage de l’ancien au neuf.
Disparition de la musique live au profit du Play-back
La musique live autrefois convoitée par les mélomanes est en voie de disparition au profit du Play back. En effet, le playback est une présonorisation, une synchronisation de l’interprétation sur un enregistrement sonore réalisé antérieurement. Dans l’univers du Play back, les enregistrements des sons musicaux et la pose de la voix sont faites préalablement et peuvent subir des modifications dans un studio.
C’est la forme actuelle qu’adoptent quelques artistes pour les concerts. Cela leur permet d’éviter les imprévus et le stress. Cependant, cette révolution de l’art musical cache la vraie nature des artistes et encourage d’avantage la facilité.
L’avènement du Play back faire que les artistes qui font de la musique live de nos jours sont comptés au bout des doigts. Ceci porte atteinte à l’authenticité de l’industrie de la musique.
L’industrie musicale, un monde assez sur la modernité
De nos jours, le domaine musical est de plus encré sur la modernité, l’on préfère écouter la musique moderne au détriment du traditionnel. Ainsi la tendance est plus tournée vers le décalé coupé, le rap, le cool cachée, l’afro beat etc… Ce qui entraine la disparition de certains rythmes traditionnels. Cependant, la question d’identité musicale pose de plus problème parce que les artistes n’ont pas pu menés leurs rythmes d’origines à l’ordre de la modernité.
Chaque pays a ces rythmes traditionnels, ce qu’il faut moderniser pour avoir une identité musicale. Chose qui n’est pas faire par les acteurs du monde musical. Toutefois, les artistes de certains pays ont réussi ce challenge et ont une identité musicale.
C’est le cas du Congo où la Rounba a été pérennisée et modernisée, du Cameroun où le Makossa est mené à l’ordre de la modernité. De plus sur nos chaines de télés et radios on écoute de la musique moderne, la musique importée à longueur de la journée.